Quelques brèves de l'année 2012
Nous mettons ci-après à votre disposition un certain nombre de brèves du monde internet, du web, des opérateurs de services comme celui de la dématérialisation des échanges.
Ne pas payer les péages grâce à un smartphone !
Certains automobilistes ont trouvés l'astuce pour ne pas payer de péage sur les autoroutes, pour cela ils se placent derrière un véhicule qui passe au télépéage ...
Ainsi placés, grâce à une application développée sur iOS et Androïd, ils scannent le code de la voiture qui les précédent et le ré-injecte le code volé lors de leur propre passage.
C'est la double facturation qui a mis la puce à l'oreille des sociétés exploitantes des autoroutes qui sont en train de travailler sur une parade.
La Commission Européenne lance une consultation sur l'utilisation du Cloud ...
La Commission européenne souhaite recueillir l'avis des citoyens, des entreprises, des autorités publiques et des autres parties intéressées sur la meilleure manière de tirer parti de 'l'informatique en nuage' (le cloud computing).
La consultation publique en ligne se déroulera jusqu'au 31 août et les réponses obtenues alimenteront les travaux de préparation de la stratégie européenne que la Commission présentera ultérieurement.
Pour accéder à la consultation publique cliquez ici.
Google et les éditeurs de presse en Europe
Après des mois de résistance, Google est en train de craquer.
Il faut dire que depuis que les éditeurs de presse allemands, français et italiens se sont alliés pour demander une loi obligeant les moteurs de recherche à payer des « droits voisins » sur le droit d’auteur la marge de manœuvre de Google se réduit.
Cela ne va pas s'arranger maintenant que les éditeurs de presse portugais et suisses se sont associés à cette démarche, « les éditeurs de presse portugais invitent leur gouvernement et parlement à soutenir leurs projets législatifs de droits voisins et sur les œuvres collectives pour permettre l'information de tous les citoyens et un rééquilibrage économique du Web » alors que les pouvoirs publics helvétiques ont lancé une réflexion sur une « évolution du cadre législatif du droit d'auteur ».
Pour Google, les marges de manœuvre sont en train de se réduire et ce ne sont pas les opérations de lobbying lancées récemment qui changeront grand chose car, en fait, le compte à rebours a commencé et Google va devoir 'passer à la caisse'.
Facebook dans le viseur de l'Irlande et de la Norvège
Depuis sa difficile introduction en bourse, le réseau social a besoin de faire rentrer l'argent pour rassurer et satisfaire ses actionnaires.
Toutefois les uses et coutumes de l'opérateur déplaisent un peu partout dans le monde car elles ne sont pas toujours claires ni, surtout, au bénéfice des utilisateurs.
C'est dans ce contexte que la CNIL irlandaise va étroitement surveiller l'opération de croisement de ses données avec celles de ses filiales et partenaires.
De leur côté les autorités norvégiennes demandent à Facebook de changer l'affichage par défaut de certaines publicités.
Google Transit et le métro parisien
Google France annonce la disponibilité partielle en version béta de son service Google Transit, toutefois ce service est d'ores et déjà disponible pour Paris intra-muros.
Cet outil permet de trouver sur Google Maps plusieurs informations en temps réel pour le métro et le RER parisien.
Ainsi, à partir de Google Maps, vous pouvez consulter, par exemple, la fréquence des trains et la durée des trajets pour Paris intramuros ou les indications vous permettant de trouver la bonne bouche de métro à utiliser pour un parcours donné.
Le bouton "Itinéraire/Transport public" permet d'obtenir le meilleur trajet et le moyen de transport le plus pratique en fonction de l'itinéraire et de l'horaire de votre voyage.
Enfin, sachez que ce service est déjà disponible pour les ville de Bordeaux, Strasbourg, Perpignan ainsi que plusieurs autres villes en France et à l'étranger.
Vive le commerce né de l'e-commerce
LDLC, Pixmania, Bazarchic et Cdiscount, depuis plusieurs mois, les 'pure players' de l'e-commerce se relaient pour annoncer leurs rapprochements avec des distributeurs dits 'traditionnels' ou à des industriels, voire à ouvrir des magasins en propre.
Les débuts de la vente sur le web ont vu l'émergence de nombreux acteurs 'low cost' qui, ne cherchant pas à développer une image de marque, avaient essentiellement misé sur une stratégie de promotions justifiées par les économies de fonctionnement réalisées grâce au Web.
Les consommateurs avaient alors assimilé la toile à un espace où l'on trouvait les meilleurs prix.
Aujourd'hui, pour ces enseignes qui se sont fait un nom sur le web, cette image bon marché pose un vrai problème car, comme toute entreprise qui grandit, ils ont besoin d'augmenter leurs marges commerciales.
La solution qui est apparu est celle d'avoir une présence 'physique' qui, de plus, correspond à une demande forte des clients qui souhaitent à la fois plus d'humanisation et la possibilité de manipuler les produits.
Vous pouvez retrouver ces brèves ainsi que d'autres informations en cliquant ici.
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